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samedi 21 janvier 2012

LA VOYAGE A MADA


LA VOYAGE A MADA
VOYAGES VERS LE SUD.
Aujourd’hui encore, le promeneur arpentant les rues pavée ou les escaliers  de la ville haute est frappé par les faux airs tananariviens de « Fianar ». Avec, plus encore que dans la capitale de la grande îles, une concentrations d’édifices religieux inégalée à Mada. Terre pieuse s’il en est ! Explication : les missionnaires catholique et protestants se sont livrés à une rude concurrence, à partir des années 1870, pour conquérir les âmes Betsileo. Une rivalité qui a progressivement tourné a l’avantage des premiers. »Le protestantisme était la religion des élites Merina, son implantation a été favorisée par  le pouvoir d’Tananarive, dit le père jésuite François Noiret, professeur d’ethnologie au grand séminaire. Mais la population, méfiante, s’est plutôt tournée vers l’église catholique. Aujourd’hui, elle compte un millier de catéchiste en brousse et des centaines de religieuses, réparties dans tout le Betsileo. On dénombre plusieurs dizaines de congrégations catholiques à Fianar et dans la religion. Cependant, les églises luthériennes sont très actives, grâce à des communautés ou l’on pratique, par exemple, la guérison par imposition des mains ». Comme dans le village monastère de Soatanana, ou les centaines de fidèles s’habillent exclusivement de blanc.   

vendredi 13 janvier 2012

LA VOYAGE A MADA


LA VOYAGE A MADA
VOYAGES VERS LE SUD.

Kianjasoa, au sommet de la plus haute colline (1374). En 1830, la reine Ranavalona 1ere décida la construction d’une cité jumelle d’Antananarivo, 500 kilomètres plus au Sud. La configuration des lieux s’y prêtait. Sur une hauteur, un palais de bois fut construit, pour offrir au gouverneur un résidence et une vue dominante sur ses nouveaux sujets. Pour parfaire la ressemblance, on fit creuser un petit lac au pied de la colline royale. Les grandes maisons de briques aux balcons de bois poussèrent alors, au flanc des pentes,  épousant les courbes de niveau et reproduisant fidèlement l’échelle social : les dignitaires au plus près du palais, la plèbe aux bas étages

jeudi 12 janvier 2012

LA VOYAGE A MADA

LA VOYAGE A MADA
VOYAGES VERS LE SUD.
On doit lésait cette histoire de thé, mais pour voir des beau paysage il faut aller en train. C’est une train de légende, si vous avez vue je sais que vous l’aimer.
Une foule bigarrée, chargée de sacs et  de paquets, fait le pied de grue devant la gare du train. Les regards s’interrogent : partira, partira pas ? Un train pour Manakara est annoncé, mais les habitués savent combien est aléatoire le programme de la ligne du Pays - Côte Est. Construite à l’époque coloniale, elle aurait besoin de sérieux travaux de rénovation et chaque saison cyclonique fait naître la crainte de sa fermeture définitive. Mais le système D malgache fait merveille et vaille que vaille, une locomotive diesel tire deux ou trois wagons d’un autre âge, plusieurs fois par semaine, entre la capitale du pays et la côte. Les rails dévalent des pentes parfois impressionnantes, au milieu des falaises et des cascades. Il faut de nombreuses heures pour rallier Manakara, à 163 kilomètres de là. Qu’importe. La ligne FCE est devenue une curiosité touristique, un des derniers trains de légende.


samedi 7 janvier 2012

LA VOYAGE A MADA


LA VOYAGE A MADA
VOYAGES VERS LE SUD.
Celle-ci est dirigée par un gérante. Après 40 ans de services à Bois Chéri, il a rejoint son compatriote le directeur pour diriger les délicates opérations de traitement des feuilles : flétris sage à l’air chaud, roulage, fermentation, séchage, triage. Aux alentours, de vaste forêt d’eucalyptus sont propre produit, en deux catégories : thé nature et thé à la vanille. Le reste part sur le marché de Mombasa, depuis la fermeture de celui de Londres, il y a deux ans.
Le thé malgache entre ensuite dans l’anonymat et les secrets de fabrication du blending, le mélange élaboré par les grands acheteurs internationaux.  A chaque minute, autour du monde, des tasses de thé fumantes dégagent un peu l’odeur du pays.
Pour vous les voyageurs le meilleure se de visiter.

jeudi 5 janvier 2012

LA VOYAGE A MADA


LA VOYAGE A MADA
VOYAGES VERS LE SUD.
Toujours vers le sud dans les collines du thés, si vous aimez le thés ou faire un business, alors lire l’article que j’ai écrit pour vous.
Les thés ne sont pas une tradition très ancienne dans la région. Les premières plantations remontent à 1969, sur l’initiative des coopérants français de l’institut du café et du cacao. Les 1 100 mètres d’altitude, les pluies régulières, biens évacuées par les pentes du relief, réunissaient toutes les conditions requises pour une production de qualité. Elle a finalement démarre » en 1978. Non loin de la vaste pro soigneusement renouvelée pour alimenter les machines en bois de chauffe. Les éléments d’une autre usine, entièrement démontée à Maurice, sont arrivés ces derniers temps à Sahambavy, pour doubler les capacités des installations.  Nous vendons 50 tonnes par an à une société de conditionnement locale pour le marché malgache,  mais nous allons bientôt proposer notre prié té, d’autre parcelles font des tâche verdoyantes au flanc des collines : elles appartiennent à des paysans, qui vendent leur récolte à l’usine.
Suite de ces articles page suivant.

mardi 3 janvier 2012

LA VOYAGE A MADA


LA VOYAGE A MADA
VOYAGES VERS LE SUD.
Cette ville étendue, colorée et originale est le centre catholique et académique de Madagascar avec de nombreuses églises, établissements scolaires, institutions et missions religieuses
Le théâtre naturel de cette histoire humaine est aussi devenu une valeur fiduciaire. Au bord de la route nationale, aux portes d’Ambosira, la majesté du paysage invite le voyageur à une halte contemplative. Rochers coiffant la colline, rizières minuscules au fond du vallon. Au premier plan, quelques maison de terre sèche confèrent à la vue sa vocation de carte postale. Un habitant s’approche, sourire aux lèvres. Il quémande un billet d’argents malgaches, mais ne l’empoche pas. Son   index de paysan désigne le dessin : c’est bien son décor quotidien que reproduit l’illustration de la coupure.  Il la rend à son hôte éphémère, les yeux brillants fierté. En un ultime sourire, le plus sincère des visas d’entrée en pays sud de mada.

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