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dimanche 12 février 2012

LA VOYAGE A MADA













            LA VOYAGE A MADA
VOYAGES VERS L’OUEST.

Cette histoire, Simon Victor la rencontre avec la maigre précision permise par la rareté des sources.
Proviseur au lycée de Morondava, il a longuement étudié l’activité goélettière de sa côte natale, pour les besoins d’un travail universitaire.  «  En 1861, le roi Radama il accède au pouvoir, explique-t-il.
Soucieux d’ouvrir son pays sur l’extérieur, il sollicite de Napoléon III l’envoi de charpentiers de marine pour enseigner la construction navale moderne aux Malgaches. La maison est confiée à Joachim Son nom de famille est tombée dans l’oubli qui vivait à la Réunion avec ses trois fils, Albert, Ludovic et Fernand. Mais lorsqu’ils arrivent Antananarivo, le règne de Radama II s’est déjà achevé. Les Français sont chassés ». Joachim et ses fils reprennent le bateau, descendent le long de la côte Sud-est de la Grandes Ile avant de s’échouer non loin de Fort Dauphin. Ils s’établissent dans la région, y commercent quelque peu. La famille aventurière remonte par la suite le long de la côte Ouest.
Cette histoire que j’ai rencontres pour est une histoire qui se passe dans la ville que la suite de notre voyage. 

samedi 11 février 2012

LA VOYAGE A MADA


LA VOYAGE A MADA
VOYAGES VERS L’OUEST.

Du vent plein les voiles, deux, trois, cinq navires cinglent vers le sud. Le spectacle qu’ils offrent, ce matin, à l’horizon du Canal Mozambique, est désigne d’un film de pirates. Rien ne vient rappeler l’an 1998, dans ce cadre en cinémascope ou  revit l’époque de la marine en bois, Le gréement des grands voiliers ressemble étrangement à celui des goélettes européennes d’autrefois. Et pour cause. Il s’agit bien de goélettes, avec leurs deux mâts et leurs voilure caractéristiques : foc, trinquette, misaine, grand-voile.
Pourtant, tout le monde les rappelle « botry » (boutre) sur la côte occidentale de Madagascar, qu’elles longent à longueur d’année, transportant les marchandises de port. L’apparentement est compréhensible, tant les boutres ont marqué l’histoire de la région. Ils continuent d’ailleurs à assurer une bonne part du trafic maritime entre les villes de la côte Nord-ouest et les îles comoriennes. Mais, propulsés par la seule force du vent ou par un moteur diesel, leur mât avant incliné et leur château arrière les privent de tout cousinage avec les hautes goélettes.
Les premiers boutres sont arrivés dans cette partie du monde il y a des siècles, avant-gardes d’une expansion arabe et swahilie qui trouvaient ses confins dans le Sud-ouest de l’océan indien. On les construisait depuis longtemps sur les rives de la Grande Ile lorsque les goélettes sont arrivées.
Non par la mer, mais dans la tête d’un homme qui, aujourd’hui d’où il est, ne peut sans doute pas imaginer sa postérité.

samedi 21 janvier 2012

LA VOYAGE A MADA


LA VOYAGE A MADA
VOYAGES VERS LE SUD.
Aujourd’hui encore, le promeneur arpentant les rues pavée ou les escaliers  de la ville haute est frappé par les faux airs tananariviens de « Fianar ». Avec, plus encore que dans la capitale de la grande îles, une concentrations d’édifices religieux inégalée à Mada. Terre pieuse s’il en est ! Explication : les missionnaires catholique et protestants se sont livrés à une rude concurrence, à partir des années 1870, pour conquérir les âmes Betsileo. Une rivalité qui a progressivement tourné a l’avantage des premiers. »Le protestantisme était la religion des élites Merina, son implantation a été favorisée par  le pouvoir d’Tananarive, dit le père jésuite François Noiret, professeur d’ethnologie au grand séminaire. Mais la population, méfiante, s’est plutôt tournée vers l’église catholique. Aujourd’hui, elle compte un millier de catéchiste en brousse et des centaines de religieuses, réparties dans tout le Betsileo. On dénombre plusieurs dizaines de congrégations catholiques à Fianar et dans la religion. Cependant, les églises luthériennes sont très actives, grâce à des communautés ou l’on pratique, par exemple, la guérison par imposition des mains ». Comme dans le village monastère de Soatanana, ou les centaines de fidèles s’habillent exclusivement de blanc.   

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